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Genealogie, Noblesse, heraldique, familles royales et princières, dynasties feodales
Histoire des familles, Régionalisme, Ordres de chevalerie, Onomastique, Toponymie...

LA DYNASTIE D'APCHIER et leurs alliances "LA DYNASTIE D'APCHIER et leurs alliances" de M. Demorest
APCH, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La maison de Châteauneuf-Randon, connue en Gévaudan et en Vivarais depuis le XIè siècle, s'est divisée en plusieurs branches dites de Châteauneuf-Randon, d'Apchier, de Barjac-Rochegude et de Joyeuse. La baronnie d'Apchier donnait une entrée par tour aux états généraux du Languedoc, en alternance avec les baronnies de Mercoeur, de Canillac, de Tournel, de Châteauneuf-Randon, de Peyre, de Sénaret, et de Florac Guérin de Châteauneuf, chevalier, vivant en 1180, épouse Alix d'Apchier et fut la tige de la maison d'Apchier.



LA DYNASTIE DE PRUNELE et leurs alliances "LA DYNASTIE DE PRUNELE et leurs alliances" de M. Demorest
PRUN, 2011, 21 x 29,7, 25 €
Les Prunelé sont originaires de La Porte (près Etampes) on les trouve depuis Rudolphe de Prunelé vivant au 12e siècle. Ils possèdent Gazeran - par alliance avec les seigneurs du lieu au XIV° - jusqu'en 1706. Ils tiendront Ouarville plus longtemps encore - jusqu'à la fin du XIX° siècle. Les Armes des Prunelé sont De gueules à 6 annelets d'or, posés 3, 2 et 1.



LA DYNASTIE D'ESTAING et leurs alliances "LA DYNASTIE D'ESTAING et leurs alliances" de M. Demorest
ESTA, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La famille d'Estaing est l'une des familles nobles les plus considérables du Rouergue et d'Auvergne. Originaire d'Estaing, dans l'Aveyron où la châtellenie est attestée depuis le début du XIe siècle. La maison d'Estaing s'est éteinte avec le décès de l'amiral Charles-Henri d'Estaing (en 1794), puis de sa demi-sœur Lucie Madeleine d'Estaing qui est morte en 1826 et qui laisse une descendance nombreuse de nos jours.



LA DYNASTIE DE FLANDRE et leurs alliances "LA DYNASTIE DE FLANDRE et leurs alliances" de M. Demorest
FLAN, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La maison de Flandre - aussi appelée les Baudouins (Lat. Balduini) - fut le premier lignage de la noblesse franque à s'installer durablement sur un territoire héréditaire. Elle fut fondée par Baudouin Ier Bras-de-Fer, époux de Judith, fille de Charles le Chauve.



LA DYNASTIE DES BLACAS et leurs alliances "LA DYNASTIE DES BLACAS et leurs alliances" de M. Demorest
BLAC, 2011, 21 x 29,7, 25 €
Les Blacas sont une maison française, très ancienne, qui tire son nom du château d'Aups (en Provence). Dès le XIIe siècle, Blacas de Blacas, dit le Grand guerrier, mort en 1235, se distingua parmi les plus vaillants chevaliers de la cour du comte Raimond Bérenger IV de Provence. Seigneurs de la ville d'Aups, la famille a longtemps combattu avec la commune dans un procès qui dura de 1346 à 1712. La ville d'Aups eut gain de cause après avoir gagné ce procès pour dépendre juridiquement du roi de France. Les Blacas possédaient notamment les châteaux de Vérignon et d'Aups ainsi que de nombreux autres domaines dans l'actuel canton aupsois. À cette famille, appartient Casimir Blacas d'Aulps. Le premier Blacas, Pierre d'Aulps, tige de la maison des Baux participa à la première croisade (1095-1099).



LA DYNASTIE DE CHATILLON "LA DYNASTIE DE CHATILLON et ses alliances" de Michel Demorest
DYCT, 2009, 21 x 29,7, 54 p., 30 €
Maison de Châtillon, illustre famille, dont l'origine remonte au IXe siècle, et qui se fond en 1762 avec la famille de Wolbock. Elle tirait son nom d'un comté champenois dont Châtillon-sur-Marne était le chef-lieu, et forma les branches de Saint-Pol, Blois, Penthièvre, Chartres; etc. Elle possédait de vastes domaines et était alliée à plusieurs maisons souveraines. Les comtes de Châtillon joignaient à leur titre celui de prince de Porcien.



LA DYNASTIE D'AUVERGNE "LA DYNASTIE D'AUVERGNE et ses alliances" de Michel Demorest
DYAU, 2009, 21 x 29,7, 36 p., 25 €
Le comté d'Auvergne est l'une des plus ancienne seigneuries de France, puisqu'elle a déjà été érigée à la fin de la période romaine. Durant l'ère mérovingienne, il devient même momentanément un duché. La famille des Comtes d'Auvergne gouverne le comté depuis le dixième siècle. Une crise éclate au sein de la famille en 1155, date à laquelle le comte Guillaume VII d'Auvergne est forcé par son oncle Guillaume VIII d'Auvergne à diviser le comté en deux. Guillaume VIII reprend le comté, tandis que Guillaume VII doit se satisfaire du titre de dauphin d'Auvergne. En 1360, le roi de France Jean II de France crée, sur la vieille Terre royale d'Auvergne, un duché d'Auvergne qui se transmet au sein de la famille royale.



LA DYNASTIE DE SADE ET SES ALLIANCES "LA DYNASTIE DE SADE ET SES ALLIANCES" de Michel Demorest
SADE, 2010, A4, 40 p., 25 €
La famille de SADE en Provence illustre et ancienne maison de chevalerie originaire d'Avignon où elle florissait dès le douzième siècle sous le nom de Sade de Sadone de Sazo de Sauze et de Sada en français de Sade Elle a formé les branches des seigneurs d'Aiguières et de Saint Just des seigneurs de Saumane de la Coste et de Mazan comtes de Sade et des seigneurs d Aiguières. Elles ont toutes pour auteur commun Bertrand de Sade qui assista à une assemblée tenue à Arles en 1216. Mais le nom de Sade est cité dans les anciennes chartes sous l'an 1171 1175 et 1177 Hugues de Sade fils de Bertrand fit son testament en 1302 Jean de Sade illustra son nom par les grands services qu'il rendit à Louis II roi de Sicile et comte de Provence Ce prince lui inféoda la terre et seigneurie d'Aiguières le 14 octobre 1416. Baltazard de Sade épousa Anne d'Hugolen dame de Romanie et de la Goy de la famille ou fameux Raimond Hugolen l'un des neuf preux de Provence qui mourut en 1207.



LA MAISON DE LORRAINE ET SES ALLIANCES "LA MAISON DE LORRAINE ET SES ALLIANCES" de Michel Demorest
MLOR, 2008, A4, 68 p., 30 €
Sa généalogie remonte au comte Gérard Ier de Lorraine, aussi connu sous le nom de Gérard d'Alsace (t 1070), duc de Lorraine. Le duc François III de Lorraine épousa en 1736 Marie-Thérèse de Habsbourg, héritière de cette maison, donnant naissance à ceux qu'on a appelé les Habsbourg-Lorraine. La maison de Lorraine se fondit dans la prestigieuse maison de Habsbourg, héritière des ducs de Bourgogne. En 1737, François III dut abandonner ses droits sur la Lorraine et le Barrois mais reçut en échange le grand-duché de Toscane. Il conserva pourtant le titre de "duc de Lorraine et de Bar" pour lui-même et ses héritiers. Il fut élu empereur des Romains en 1745. L'actuel aîné de la maison de Habsbourg-Lorraine est le duc de Hohenberg (né en 1929). Néanmoins sa branche, bien qu'aînée, est considérée comme morganatique du point de vue autrichien, et le titre de "duc de Lorraine" est porté par l'archiduc Otto de Habsbourg Lorraine (né en 1912), fils aîné du dernier empereur d'Autriche, Charles Ter qui par ailleurs et par fidélité à ses ancêtres se fait nommer "duc de Bar".



LA DYNASTIE D'ALBERT ET SES ALLIANCES "LA DYNASTIE D'ALBERT ET SES ALLIANCES" de Michel Demorest
DALB, 2008, A4, 30 p., 25 €
La famille d'Albert est originaire d'Italie où Alberto del Giudice vivait au début du XIIIe siècle. Il avait eu un fils Jacopo, « cavaliere a spron d'oro », qui fut père de Lapo degli Alberti. Le fils de ce dernier, Caroccio degli Alberti, épousa Alessandra Gherardini, qui lui donna Tommaso Alberti, noble florentin, qui fut banni de Florence, vers 1360, et qui mourut en exil en 1374. Sa veuve, Margherita Gianfilazzi, décédée le 23 mars 1401, fut mère de Luigi Alberti (1365-1427), qui vint s'établir en Provence, à Pont-Saint-Esprit, et dont l'épouse, Alessandra de Ricci (morte le 22 octobre 1400) donna le jour à Thomas, premier personnage de cet ouvrage. C'est par le mariage de Léon d'Albert avec Jeanne de Ségur, dame de Luynes, que la dynastie se fit connaître sous le patronyme d'Albert-Luynes, ou Albert de Luynes, que glorifia le célèbre duc de Luynes, favori de Louis XIII. Son fils, Louis Charles, mena la vie de cour. Pair de France, grand fauconnier, il se signala comme mestre de camp devant Arras, mais se retira dans son château de Vaumurier, où il voisinait avec les solitaires de Port-Royal. Il a écrit des ouvrages de piétés. Sa fille fut l'excentrique comtesse de Verrue, dont Alexandre Dumas fit l'héroïne de son roman « La dame de Volupté ».



LA DYNASTIE D'AMBOISE ET SES ALLIANCES "LA DYNASTIE D'AMBOISE ET SES ALLIANCES" de Michel Demorest
DAMB, 2008, A4, 30 p., 25 €
L'ancienne famille d'Amboise tire son nom de la ville d'Amboise, en Touraine, dont elle a possédé la seigneurie. En France, la plus ancienne des généalogies connues, et "écrites", vient de Touraine. Elle date de 1155. Ce superbe texte retrace la vie des seigneurs d'Amboise et célèbre les vertus de chacun d'entre eux. À l'origine, les seigneurs d'Amboise étaient les vassaux des premiers comtes d'Anjou, mais, après des luttes opiniâtres, ils sont devenus autonomes jusqu'à obtenir des fiefs considérables tels que la Vicomté de Thouars et la Principauté de Talmont. Cette puissante race chevaleresque fut appelée " la race de Mars ". La branche aînée s'éteignit au XVe siècle avec Louis d'Amboise, sire d'Amboise, Vicomte de Thouars. La branche cadette, qui possédait la magnifique terre de Chaumont-sur-Loire, continua une lignée ininterrompue jusqu'à ce jour, par Pierre d'Amboise, gouverneur de Touraine, conseiller des rois Charles VII et Louis XI. Elle remonte bien avant l'an 1000. Les premiers membres de cette famille se signalèrent, sous les ordres des comtes d'Anjou, en repoussant les attaques des Vikings sur la Loire. Lisois d'Amboise, issu des familles de Bazougers et de Lavardin, fut le principal chef militaire du puissant comte d'Anjou, Foulques Nerra. Ce dernier, pour le récompenser des services rendus, lui céda, peu avant l'an 1000, la place d'Amboise ( appelée sous les Romains, " Vicus ambaciensis, Ambacques, Castrum ambacianum, puis, Ambacia, Ambaces, Amboyse, et enfin Amboise". Dès qu'il fut en possession de cette seigneurie, Lisois (de Bazougers) changea de nom et se fit appeler Lisois d'Amboise.



LA MAISON D'ANJOU, deuxième et troisième dynasties "LA MAISON D'ANJOU, deuxième et troisième dynasties" de Michel Démorest
ANJO, 2010, A4, 26 p., 25 €
En 1226, le roi de France Louis VIII meurt et laissa par testament l'Anjou ainsi que le Maine en apanage à Charles Ier d'Anjou (1227-1285), qui fonda la seconde dynastie angevine. Charles conquiert l'Italie méridionale et se fait couronner roi de Sicile et de Naples. Mais les difficultés arrivent très vite et débouchent sur les dramatiques Vêpres siciliennes en 1282 au cours desquelles furent massacrés des milliers de Français dont de nombreux Angevins. En 1290. Marguerite, fille de Charles II d'Anjou, roi de Naples et de Jérusalem, comte d'Anjou. du Maine et de Provence, et de Marie de Hongrie, apporta l'Anjou et le Maine en dot à Charles de France, comte de Valois, dont le fils, devenu roi de France sous le nom de Philippe VI, réunit ces deux provinces à la couronne.



LA DYNASTIE DE VOGUE ET LEURS ALLIANCES "LA DYNASTIE DE VOGUE ET LEURS ALLIANCES" de Michel Démorest
DYVO, 2010, A4, 26 p., 25 €
La famille de Vogüé est une ancienne famille originaire du Vivarais. Son patronyme vient de la terre de Vogüé près d'Aubenas (Ardèche). Elle possède également depuis un temps immémorial la terre de Rochecolombe, sous le nom de laquelle elle était parfois désignée jadis. Un Bertrand de Vogüé est cité dès 1084 : conjointement avec sa femme Bermonde et ses fils Jean et Raymond, il contribua à fonder le monastère de Saint-Martin de la Ville-Dieu. Un Raymond de Vogüé faisait partie de la troisième croisade (1189-1192). En 1256, Raymond de Vogüé, seigneur de Vogüé et de Rochecolombe, épouse Guillelme de Laudun. Un autre Raymond de Vogüé, cité en 1292, épouse Mascoude de Senneterre. Pierre de Vogüé, cité en 1461 et 1503, épouse Marguerite Bernard. Leur fils Antoine de Vogüé, seigneur de Lanas, épouse Jeanne de Caissac. Leur fils Jean de Vogüé épouse en 1507 Gabrielle de Caires d'Entraigue. Ils ont un fils, Guillaume de Vogüé, qui épouse en 1558 Antoinette de Galiens des Issarts.



LA DYNASTIE DE CHATEAUNEUF-JOYEUSE "LA DYNASTIE DE CHATEAUNEUF-JOYEUSE et ses alliances" de Michel Demorest
DYCJ, 2009, 21 x 29,7, 32 p., 25 €
La vicomté de Joyeuse fut érigée en duché en 1581 par Henri III, roi de France, en faveur de son favori Anne de Joyeuse. Le Duché-pairie de Joyeuse a été constitué avec les territoires de la Vicomté de Joyeuse, des Seigneuries de Baubiac, Rosières, La Blanchières, La Baume, Saint-Aubain, Saint-André, Saint-Sauveur, etc. La branche ducale s'éteignit en 1592 et le duché de joyeuse passa à Charles de Lorraine, duc de Guise, par son mariage avec Henriette-Catherine, fille de Henri de Joyeuse, maréchal de France.



LA DYNASTIE DE LA TREMOILLE "LA DYNASTIE DE LA TREMOILLE et ses alliances" de Michel Demorest
DYTR, 2009, 21 x 29,7, 38 p., 25 €
La famille de la Trémoille (écrit également de la Trémouille) est une famille ducale française. Elle connut ses plus illustres membres à la fin du Moyen Âge et à la Renaissance.




LA DYNASTIE DE NORMANDIE "LA DYNASTIE DE NORMANDIE et ses alliances" de Michel Demorest
DYNOR, 2009, 21 x 29,7, 38 p., 25 €
Son origine remonte à l'année 911 avec la fondation par le chef viking Rollon du duché de Normandie. Les historiens actuels estiment que Rollon fut probablement fait comte, vraisemblablement avec les fonctions classiques d'un comte carolingien, à savoir assurer la protection et l'administration de justice, en tant que vassal du roi des Francs. Quelques sources médiévales postérieures l'appellent également duc, comme l'ont été nombre de ses successeurs. Le duché de Normandie sera complet avec la prise en 933 du Cotentin, de l'Angevin et des Îles Anglo-Bretonnes sur les Vikings de Nantes (ou de Bretagne). En 1008, la frontière avec la Bretagne est déplacée de la Sélune jusqu'au Couesnon.
Comme ses prédécesseurs étaient appelés jarls (comtes) des Northmanni (Normands), Richard II fut le premier à être nommé duc de Normandie (le titre ducal établi entre 987 et 1006). En 987, lors du couronnement de Hugues Capet, le duc de Normandie est pair de France, ce qui semble induire que la Normandie était intégrée au royaume de France, contrairement à la Bretagne voisine, dont les Chefs n'étaient pas pairs de France et portaient parfois le titre de prince ou de roi. En 1066, Guillaume le conquérant ajouta le royaume d'Angleterre à son domaine avec la conquête de l'Angleterre.



LA DYNASTIE DE POITIERS "LA DYNASTIE DE POITIERS et ses alliances" de Michel Demorest
DYPOI, 2009, 21 x 29,7, 22 p., 25 €
Fief situé près de Mirabel, repaire fortifié des comtes de Valentinois et de Diois au XIIe siècle, dans le diocèse de Valence, Die et Viviers. La seigneurie comprend 16 forteresses puis châteaux dont : Pisançon, Romans, Saint-Vallier, la baronnie de Clérieux-en-Dauphiné, les seigneuries de Châteauneuf de Mazenc, Vals et Sérignon (Comtat Venaissin). Guillaume Ier de POITIERS-VALENTINOIS, comte de Valentinois. Vivait encore en 1160. Il s'est marié avec Béatrix d'ALBON, fille de Guigues IV d'ALBON (+ 1142), dauphin de Viennois et comte d'Albon, et de Clémence ou Marguerite de BOURGOGNE-VIENNE (+ 1164).



LA DYNASTIE DE LA TOUR D'AUVERGNE "LA DYNASTIE DE LA TOUR D'AUVERGNE et ses alliances" de Michel Demorest
DYLT, 2009, 21 x 29,7, 42 p., 30 €
La famille de La Tour d'Auvergne, appelée de La Tour jusqu'au mariage en 1389 de Bernard de La Tour, fils de Guy, seigneur d'Olliergues, et de Marie de Roger de Beaufort, avec Marie d'Auvergne, comtesse héritière d'Auvergne. Turenne, des ducs de Bouillon, qui est éteinte en la personne de: Jean III de La Tour d'Auvergne (1467 - 1501) marié en 1495 avec Jeanne de BourbonVendôme (1465 - 1521) qui ont eu deux filles Anne et Madeleine de La Tour, comtesse héritière d'Auvergne, mère de Catherine de Médicis. La branche des vicomtes de Turenne, branche cadette qui commence avec le mariage en 1444 d'Annet IV de La Tour avec Anne de Roger de Beaufort, vicomtesse héritière de Turenne. Cette famille est éteinte en 1792 en la personne de : Geoffroy-Charles-Henri de La Tour d'Auvergne (1728 - Évreux 1792), 6ème et dernier duc de Bouillon.



LA DYNASTIE DE BRIENNE "LA DYNASTIE DE BRIENNE et ses alliances" de Michel Demorest
DYBR, 2009, 21 x 29,7, 52 p., 30 €
Les comtes de Brienne faisaient remonter leur ancêtre jusqu'à Engilbert, qui vivait sous Hugues Capet, au Xe siècle. Ils étaient vassaux des comtes de Champagne. Le comté médiéval était centré sur la ville de Brienne-le-Château. L'un d'eux Jean monta sur les trônes de Jérusalem et de Constantinople ; d'autres furent ducs d'Athènes. Cette maison s'éteignit en 1356, en la personne de Gautier VI, connétable de France. Le titre de comte de Brienne passa depuis aux maisons de Conflans, de Luxembourg puis de Loménie.



LA DYNASTIE D'AGOULT "LA DYNASTIE D'AGOULT et ses alliances" de Michel Demorest
DYAG, 2009, 21 x 29,7, 64 p., 30 €
La famille d'Agoult est une des plus anciennes familles de la noblesse provençale dont sont issus les Simiane (vers 1090) et les Pontevès (vers 1215). La maison d'Agoult prend ce nom dès le début du XIe siècle et règnera sur le pays d'Apt et de Sault durant tout le Moyen Age.



LA DYNASTIE DE BEAUJEU "LA DYNASTIE DE BEAUJEU et ses alliances" de Michel Demorest
DYBJ, 2009, 21 x 29,7, 26 p., 25 €
Il y a eu plusieurs dynasties qui ont porté successivement le nom et les armes des sires de Beaujeu. Le présent ouvrage se cantonnera à développer celles qui déroulèrent, durant près de cinq siècles, une généalogie d'illustres personnages dont le nom résonna jusqu'aux murs de Saint-Jean d'Acre. Ainsi, Béraud, le premier ancêtre connu, trônant dans son château de Pierre-Aiguë, bien assis au-dessus de l'Ardières. Guichard III, un des plus puissants seigneurs du XIIe siècle, qui acheva sa vie à Cluny, après avoir fondé l'église Saint Nicolas, consacrée en 1132 par le pape Innocent II, autour de laquelle la ville de Beaujeu s'est peu à peu construite. Humbert III, son aîné, qui de Terre-Sainte fut rappelé par son proche parent, l'abbé de Cluny, sur la demande de son épouse délaissée, en proie aux convoitises des seigneurs voisins. Vers 1140, il fonda Villefranche ainsi que l'abbaye de Belleville et son église, future nécropole des sires de Beaujeu. Mais il guerroya contre son propre fils, Humbert IV, ce qui ravagea le pays beaujolais. Sa ravissante petite-fille, Guicharde de Beaujeu, l'épouse d'Archambaud VI de Comborn, fut chantée par les grands troubadours de l'époque, Gaulcelm Faidit et Bertrand de Born. Guichard III, nouveau beau-frère de Philippe Auguste par son mariage avec Sybille de Hainaut, s'apparenta, lui et ses descendants, à la dynastie capétienne.



LA DYNASTIE DE COMMINGES ET DE GRAMONT "LA DYNASTIE DE COMMINGES ET DE GRAMONT et ses alliances" de Michel Demorest
DYCG, 2009, 21 x 29,7, 78 p., 40 €
La maison de Comminges descend des familles de l'ancienne féodalité, dont l'origine remonte vraisemblablement à 830 (établissement d'Asnarius ou Aznar de Gascogne comme comte de Comminges). Au commencement du XIe siècle, fut bâtie, sur les ruines de Lugdunum Convenarum, la ville de Saint-Bertrand, par les soins de l'un de ses évêques dont elle prit le nom. Saint-Bertrand de Comminges fut une ville épiscopale indépendante, avec certains privilèges pour ses habitants. Les différentes successions ont ensuite morcelé le Comté de Comminges, avant que Bernard, fils de Roger III, eut à lui seul toute la succession des comtes de Comminges au début du XIIe siècle. Son poids politique s'en trouve considérablement accru; en 1130, il intervint pour rétablir l'union entre le roi de Castille et le roi d'Aragon, et en 1135, il assista au couronnement d'Alphonse VIII comme empereur d'Espagne.



LA DYNASTIE D'ESTOUTEVILLE "LA DYNASTIE D'ESTOUTEVILLE et ses alliances" de Michel Demorest
DYES, 2009, 21 x 29,7, 36 p., 25 €
La famille d'Estouteville est une ancienne famille de la noblesse normande. Elle prend racine en Angleterre après la conquête normande de 1066, ses membres anglo-normands devenant les Stuteville. Une branche de la famille s'installera également en Italie méridionale où elle s'enracinera, donnant naissance à la famille Tuttavilla, dans la région de Naples. Robert Ier d'Estouteville, surnommé Granbois, reçoit le fief anglais de Hugues Fitz Baldric vers la fin du XIe siècle, mais être impliqué avec son fils dans la guerre entre Robert Courteheuse et son frère Henri Beauclerc. Robert II d'Estouteville devient l'un des fidèles du duc Robert Courteheuse qu'il accompagne en 1096 à la croisade. En 1105 se profile la guerre fratricide qui va opposer Henri Beauclerc, roi d'Angleterre, à Robert, duc de Normandie. Il renforce alors ses châteaux du pays de Caux (d'après Orderic Vital). Il est donc probable qu'il ait substitué aux fortifications de terre et de bois de Valmont (Seine-Maritime), par un solide donjon de pierre. Il est fait prisonnier en 1106 sur le champ de la bataille de Tinchebray et finira ses jours dans une prison anglaise. Toutes ses possessions anglaises sont confisquées.



LA DYNASTIE D'AQUITAINE "LA DYNASTIE D'AQUITAINE et ses alliances" de Michel Demorest
DYAQ, 2009, 21 x 29,7, 38 p., 25 €
Le duché d'Aquitaine est constitué en 675, à la mort de Childéric II. Il se reconstitue au IXe siècle, comme héritier du royaume d'Aquitaine attribué à Pépin II (mort en 838). Il fut ensuite l'objet de luttes entre les comtes d'Auvergne, de Toulouse et de Poitiers. Ducs d'Aquitaine et comte de Poitiers (les comtes de Poitiers ne prennent le titre de duc des Aquitains qu'à partir de 965, ce qui devrait décaler d'un numéro la numérotation traditionnelle des ducs d'Aquitaine. Guillaume IV Fierabras n'est en fait que Guillaume III et ainsi de suite...



LA DYNASTIE DE GENEVE "LA DYNASTIE DE GENEVE et ses alliances" de M. Demorest
DYGE, 2010, 21 x 29,7, 24 p., 25 €
Dynastie comtale attestée dès le XIe s., éteinte en ligne masculine en 1394. Le titre comes gebennensis doit être traduit par comte de Genève (et non, comme le fait souvent l'historiographie ancienne tant savoyarde que genevoise, par comte de Genevois ), nom porté, après l'extinction des G., par des membres de la maison de Savoie qui recevront la région en apanage. La famille, dont l'origine est obscure, donnera dix-sept comtes. Gérold, premier comte de G. identifié comme tel, est attesté au milieu du XIe s. C'était un petit-neveu de Rodolphe III, dernier roi de Bourgogne. Les possessions, très importantes, de la famille sont situées dans le diocèse de G., du lac Léman à celui du Bourget, soit dans les Pays de Vaud et de Gex (le fils cadet du comte Amédée Ier sera la souche des sires de Gex) et dans les actuels départements de l'Ain, de la Haute-Savoie et de la Savoie (Michaille, Genevois, Annecy, vallée de Chamonix, donnée à l'abbaye de Saint-Michel-de-la-Cluse vers 1090) mais pas dans le Chablais et les Bauges savoyards. Bienfaiteurs d'abbayes et de prieurés, les G. étendent aussi leur influence en faisant accéder des membres de leur famille à des dignités ecclésiastiques et à l'épiscopat dans les régions alpines et rhodaniennes (Saint-Jean-de-Maurienne, Die, Viviers, Valence) et en France (Langres, Toul).



LA DYNASTIE DE DREUX "LA DYNASTIE DE DREUX" de M. Démorest
DYDR, 21 x 29,7, 2009, 46 p., 25 €
Le comté de Dreux est un ancien comté de France, nommé d'après la ville de Dreux, sa capitale, située au nord du pays chartrain, sur les confins de la Normandie et de l'Île-de-France, et dépendait originairement du duché de Normandie. Il fait partie des possessions des Robertiens. Au commencement du Xe siècle il était possédé par un certain Landry, dont la fille Ève le porta en dot à Gauthier, comte du Vexin. Il échut ensuite à Richard Ier, duc de Normandie (942-996), dont la fille Mathilde le reçut en dot pour son mariage en 1003/1004 avec Eudes II de Blois. Après la mort d'Étienne Ier de Troyes en 1021/1023, le roi de France Robert II l'enleva à Eudes II de Blois, successeur désigné d'Étienne Ier, et le réunit à la couronne. Louis VI le Gros, le donna en 1152 à son fils Robert, qui devint le chef de la maison royale des comtes de Dreux.



La dynastie de Dampierre "LA DYNASTIE DE DAMPIERRE" de M. Démorest
DYDA, 21 x 29,7, 2010, 25 €
La maison de Dampierre est la famille qui dirigea à partir de vers 1227 la seigneurie de Bourbon-l'Archambault, jusqu'à ce que cette dernière passe par mariage à la maison de France (en 1287 à la branche de Bourgogne, puis en 1310 à la branche de Clermont, branche qui reprendra dès lors le nom de Bourbon, jusqu'à son accession au trône de Navarre en 1555). La maison de Dampierre hérita de la seigneurie de Bourbon par le mariage vers 1196 de Guy de Dampierre avec Mathilde de Bourbon. La maison de Dampierre dirigea également le comté de Flandre. En 1827, Aymard, marquis de Dampierre (1787-1845) fut fait pair de France par le roi Charles X.



La dynastie du Bellay et leurs alliances "LA DYNASTIE DU BELLAY ET LEURS ALLIANCES" de M. Démorest
BELLA, 21 x 29,7, 2010, 25 €
Ancienne famille noble de l'Anjou, (Angers, Gizeux, Liré, etc.) laquelle tirait son nom de la terre du Bellay en Allonnes au nord-est de Saumur. La famille est méconnue jusqu'au XIIe siècle. Elle devient célèbre à partir du XVe siècle grâce à son action durant la guerre de Cent Ans et au gouvernement de l'abbaye Saint-Florent de Saumur et qui s'implanta dans le pays de Mayenne par l'alliance de Jean du Bellay, dont le père et trois frères étaient morts aux journées d'Azincourt, de Cravant, et de Verneuil avec Jeanne de Logé, dame du Bois-Thibault (Lassay).



La dynastie de Chabot "LA DYNASTIE DE CHABOT" de M. Démorest
DCBT, 21 x 29,7, 2010, 30 €
La maison de Chabot a pour origine le Bas-Poitou. Certains auteurs font remonter – mais sans preuves – la filiation à Pierre Chabot, fils de Guillaume IV, duc d'Aquitaine et comte de Poitou, mort en 993. Plus raisonnablement, le Catalogue de la noblesse française de Régis Valette, fait commencer leur filiation prouvée en 1347 et indique qu'il est probable que les Chabot et les Rohan-Chabot aient la même origine. Pour certains auteurs, ce serait la branche aînée des Chabot qui devint Rohan-Chabot suite au mariage d'Henri de Chabot avec Marguerite de Rohan. La branche aînée des Rohan s'éteint dans les Chabot par le mariage (1647) de Marguerite, duchesse de Rohan (1617-1684), fille de Henri II premier duc de Rohan, et de Henri de Chabot (1616-1655) créé duc de Rohan. Malgré l'opposition des cousins Rohan-Guémené, Louis XIV lui accorde le privilège de prendre les noms et armes de Rohan, devenant Rohan-Chabot. Les Rohan-Chabot sont ducs de Rohan avec la pairie de France qui y est attachée (1648), princes de Léon, vicomtes de Porhoët, comte de Jarnac, « cousin du roi », etc. Ils possèdent toujours le château de Josselin.



La dynastie de Caumont "LA DYNASTIE DE CAUMONT" de M. Démorest
DCAU, 21 x 29,7, 2010, 25 €
Famille de Caumont, illustre maison du midi de la France, se distingua dès le temps des croisades et dans les guerres contre les Anglais en Guyenne et s'allia aux maisons souveraines de Bretagne et d'Albret. Les deux branches principales sont celles de La Force, qui existe toujours, et de Lauzun, qui s'éteignit vers 1723. Quelques personnages de cette grande famille : Guillaume-Raimond Ier, seigneur de Caumont, François de Caumont, seigneur de Castelnau, dit le vicomte de Caumont, né en 1524, capitaine huguenot tué lors du massacre de la Saint-Barthélemy (1572), Charlotte-Rose de Caumont La Force (1650 - 1724), fille de François de Caumont La Force, romancière et poétesse française, Jacques Nompar de Caumont (v.1558-1652), 1er duc de La Force.



LA DYNASTIE DE CHABANNES, CHABANNES LA PALICE "LA DYNASTIE DE CHABANNES" de M. Démorest
DCBN, 21 x 29,7, 2010, 25 €
Ancienne famille du Bourbonnais, issue des comtes d'Angoulême et par conséquent alliée à la famille royale, a fourni plusieurs grands capitaines entre autres Antoine de Chabannes, et Jacques II de Chabannes, plus connu sous le nom de La Palice. Le château de La Palice est dans la commune de Lapalisse, il est bâtie entre le XIe siècle et le XIIIe siècle, la partie féodale du château fut acquise par Jacques 1er de Chabannes en 1430. Son petit-fils, Jacques II, maréchal de France, fit construire au début du XVIe siècle l'aile renaissance en briques roses qui allie la sobriété à l'élégance. Elle remplaçait ainsi la muraille qui reliait le château fort à la chapelle de style gothique, bâtie elle-même vers 1470. Les salons entièrement meublés abritent de nombreux souvenirs historiques. Les plafonds sont à caissons rehaussés d'or et de couleurs.



LA DYNASTIE DE TOULOUSE "LA DYNASTIE DE TOULOUSE" de Michel Démorest
DYTO, 2009, 122p., 50 €
Le comté de Toulouse est un ancien comté du sud de la France, dont le titulaire était l'un des six pairs laïcs primitifs. Il est créé en 778 par Charlemagne, au lendemain de la défaite de Roncevaux, afin de coordonner la défense et la lutte contre les Vascons et intégré dans le royaume d'Aquitaine, lorsque celui-ci est créé trois ans plus tard. Le royaume d'Aquitaine se désagrège à partir de 850. Le centre de puissance de l'Aquitaine se déplace vers Poitiers et les comtes de Rouergue, également possesseurs de Toulouse, se transmettent héréditairement. Les fonctions de marquis de Gothie et de duc de Narbonne, qu'ils possédaient également deviennent des titres vide de sens et se transmettent dans la branche cadette de Rouergue. La mort de la comtesse Berthe de Rouergue apporte par héritage ces titres ainsi que le Rouergue à Raymond, comte de Saint-Gilles, et lui permet de se constituer un début de puissance territoriale. Par la suite, il hérite du comté de Toulouse à la mort de son frère Guillaume IV, bien que la succession soit revendiquée par la fille de Guillaume Philippe, mariée au duc Guillaume IX d'Aquitaine. Raymond de Saint-Gilles réussit à constituer une principauté puissance, qu'il remet à son fils Bertrand en partant aux croisades.



LA DYNASTIE D'HARCOURT "LA DYNASTIE D'HARCOURT" de Michel Démorest
DYHA, 2009, 94 p., 50 €
La Maison d'Harcourt, est une puissante famille normande qui serait issue du viking Bernard le Danois. Elle est, de nos jours, avec les Capétiens, les Rochechouart et quelques autres familles, l'une des plus anciennes familles de France. Lorsque le chef viking Rollon obtient en 911, par le traité de Saint-Clair-sur-Epte, les territoires qui vont constituer la Normandie, il distribue lui-même des domaines à ses principaux fidèles qui l'accompagnaient dans ses expéditions contre les Anglais et les Neustriens. Après la conquête de la Normandie, des terres considérables et notamment la seigneurie d'Harcourt, près de Brionne, furent attribuées pour prix de ses exploits, à Bernard le Danois, dont descendent les seigneurs d'Harcourt. La famille d'Harcourt s'est perpétuée jusqu'à nos jours avec une branche française et une branche anglaise. Le château d'Harcourt, construit vers 1100, subsiste. Au XIe siècle, Errand d'Harcourt aurait suivi Guillaume le Conquérant, duc de Normandie, à la conquête de l'Angleterre, ainsi que trois de ses frères dont certains s'y installèrent.



LA DYNASTIE DE ROQUEFEUIL "LA DYNASTIE DE ROQUEFEUIL" de Michel Démorest
DYRF, 2010, 50 €
La famille des seigneurs de Roquefeuil, en Rouergue, est une famille noble d'extraction chevaleresque qui subsiste de nos jours. Elle fut l'une des principales familles de la noblesse du Rouergue. Elle a donné des hommes de guerre, des marins et de grands administrateurs. L'histoire de cette famille recouvre celle de deux anciennes branches qui ont eu un développement considérable : La branche légitime des Roquefeuil, qui s'est poursuivie après deux substitutions, l'une au XIIe siècle par la Maison d'Anduze et l'autre au XIVe siècle par la Maison de Blanquefort qui subsiste aujourd'hui. La branche légitimée des Versols, elle aussi issue de la Maison d'Anduze, éteinte en ligne noble au XIXe siècle, mais ayant donné une branche naturelle qui commence à fin du XVIIe siècle et qui subsiste aujourd'hui.



LA DYNASTIE DE CHALON "LA DYNASTIE DE CHALON" de Michel Démorest
DYCH, 2010, 30 €
La famille de Chalon est rarement représentée sous une forme généalogique mais, le plus souvent, éparpillée dans les dynasties bourguignonnes. Seul Philibert de Chalon, le plus connu d'entre tous, remonte ses quartiers jusqu'à Jean Ier l'Antique (1190-1267), fils de Béatrice et d'Etienne III d'Auxonne. Or ladite Béatrice ne descend-elle pas d'Adélaïde (1020-1075), comtesse de Chalon, arrière-petite-fille de Lambert, incontestable ancêtre de la première maison ? En acceptant de reconstituer cette généalogie par deux fois matronymique, on découvre alors une impressionnante dynastie, réunissant la quasi-totalité des comtes de Bourgogne, ainsi que les comtes d'Auxerre, de Tonnerre, de Joigny, de Montaigu, de Montbéliard et, bien sûr, les illustres princes d'Orange. Cette famille engendrera les rois de Castille et de Leon et, comme le supposent certains érudits, pourrait être même à l'origine des ducs de Nevers, par l'intermédiaire de Gerberge, fille supposée de Lambert et d'Adélaïde de Bourgogne.



LA DYNASTIE DE MEDICIS "LA DYNASTIE DE MEDICIS" de Michel Démorest
MEDI, 2010, 25 €
Le premier ancêtre connu aurait été médecin, (d'où le nom Medici). Il était plus vraisemblablement apothicaire, ce qui expliquerait les boules composant leur blason : en fait il s'agirait de pilules, devenues avec la richesse et la gloire, tourteaux ou besants, pièces nobles en héraldique. Leur richesse, leur pouvoir et leur influence proviennent initialement du commerce, de la transformation de la laine et de leur action au sein de la guilde des lainiers Arte della Lana (Arte di Calimala). D'abord banquiers, puis politiciens, membres du clergé et nobles, les Médicis ont atteint leur prééminence la plus grande comme figures de premier plan de Florence autant que d'Italie et d'Europe. Les Médicis sont vraisemblablement originaires du Mugello, situé à 30 km au nord de Florence, où la famille possédait des terres agricoles. Les Médicis ont probablement émigré à Florence au cours du XIIIe siècle pour profiter de l'expansion économique que connaissait la République des fleurs. Ainsi, parmi les tout premiers Médicis dont il est possible de relever des traces, il apparaît que certains s'adonnent au change et à la banque. C'est le cas de Chiarissimo de Medici établi à Florence en 1201, leur plus vieil ancêtre connu.



LA DYNASTIE DE ROCHECHOUART "LA DYNASTIE DE ROCHECHOUART" de Michel Démorest
DYRO, 2010, 40 €
La Maison de Rochechouart est la plus ancienne de France après la Maison royale. Elle est la branche cadette de la Maison de Limoges, fondée par Foucher de Limoges, deuxième fils de Raymond Ier, comte de Toulouse, et de Berteys, fille de Rémi. De sorte que les vicomtes de Limoges et de Rochechouart sont sans doute issus des comtes de Rouergue et probablement les descendants des comtes d'Autun, apparus en l'an 730. La branche aînée des vicomtes de Limoges s'est fondue en 1290 dans la Maison de Dreux-Bretagne (1290-1384), puis dans celle de Blois-Châtillon (1384-1481), et enfin dans la Maison d'Albret (1484-1572). A la mort de Jeanne d'Albret, vicomtesse de Limoges, en 1572, le titre revient à son fils Henri, roi de Navarre, dernier vicomte de Limoges, et futur Henri IV.



HISTOIRE ET GENEALOGIE DES DUCS DE SAVOIE, des origines à nos jours, et leurs alliances "HISTOIRE ET GENEALOGIE DES DUCS DE SAVOIE, des origines à nos jours, et leurs alliances" de Michel Desmorest
DUCS, 2010, 21 x 29,7, 78 p., 40 €
L'origine de la Maison de Savoie remonte en 1032 lorsque la Savoie est intégrée avec le second royaume de Bourgogne, au Saint Empire Romain-Germanique. Loin de l'empereur Allemand, les seigneuries se créent au hasard des guerres, des mariages, ... La Maison de Savoie est une dynastie européenne ayant porté les titres de comte de Savoie (1033), puis de duc de Savoie (1416), prince de Piémont, roi de Sicile (1713), roi de Sardaigne (1716) et roi d'Italie (1861). La numérotation des chefs successifs de cette maison ne tient pas compte des changements de titre. La seule exception viendra des rois Humbert Ter d'Italie et Humbert II d'Italie qui ne reprendront pas à leur compte la succession purement savoyarde, d'où l'inexisténce d'Humbert IV et V. L'Italie du Nord et les territoires alpins étaient une mosaïque de royaumes, de principautés, de duchés, de marquisats, de comtés, de protectorats, et ont été le théâtre incessant de luttes d'influence et de conflits entre l'Espagne, la Provence puis la France, les États de Savoie, l'Autriche, l'Angleterre, le Pape et l'Empereur germanique.



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