MEMODOC, Histoire et genealogie en Normandie, livres sur les Normands, la noblesse, en cotentin, pays d'auge...


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LIVRES et CD sur la genealogie, l'histoire des familles, la noblesse, l'heraldique, la phaleristique, la paleographie et la normandie.
LIVRES & CD SUR LA GENEALOGIE, L'HISTOIRE DES FAMILLES, LA NOBLESSE, L'HERALDIQUE, LES ORDRES DE CHEVALERIE, L'ETYMOLOGIE ET LA NORMANDIE




NORMANDIE

LES DUCS DE NORMANDIE & leur descendance agnatique, Généalogie et histoire d’une dynastie (Xe-XVIIIe siècle) "LES DUCS DE NORMANDIE & leur descendance agnatique, Généalogie et histoire d’une dynastie (Xe-XVIIIe siècle)" de T. Le Hete
DADN, 2011, 21 x 29,7, 508 p., 55 €
La dynastie des ducs de Normandie a déjà fait l’objet de nombreuses études, mais pour la première fois une étude exhaustive lui est consacrée. Fondée en 911 par Rollon, sa dynastie s’éteignit rapidement en ligne directe après sept générations en 1167. Mais plusieurs rameaux en sont sortis tels les barons de Creully, les Clare, les Fitz-Walter, les comtes d’Evreux, d’Eu et de Corbeil, connus des généalogistes. Mais pour la première fois, et sur documents d’archives, est publiée la généalogie des Creully de Saint-Clair déclinée en six rameaux qui ne s’éteignirent qu’au XVIIIe siècle.
Table des noms cités


LES FAMILLES NOBLES DE BASSE-NORMANDIE "LES FAMILLES NOBLES DE BASSE-NORMANDIE" pP. Houel de Chaulieu
FNBN, 2010, 15 x 24, 1110 p., 55 €
Réédition anastatique de l'ouvrage de l'intendant Chamillart (publié en 1887), fait sur les ordres de Louis XIV en 1666 pour arrêter la liste des vraies familles nobles de cette province.


"NOBILIAIRE DE NORMANDIE" de E. de Magny
NONO, 2010, 13,5 x 20,5, 2 tomes, 334 + 280 p., 100 €
réimpression de l'édition de 1864.


"ARMORIAL DE LA PROVINCE DU PERCHE 1696-1701 " de d'Hozier
APRP, 2010, d’après la publication de MM. le Vte de SOUANCÉ et H. TOURNOÜER 1897-1903, 21 x 29,7, dactylographié, 120 p., 20 €
Table des noms cités


POSTES ET POSTIERS EN NORMANDIE "POSTES ET POSTIERS EN NORMANDIE, témoins des transformations nationales 1830-1914" de Sebastien Richez
POST, 2010, 330 p., 16 x 24, 31 €
Au XIXe siècle l'administration des Postes constitue l'une des principales institutions de la France. Elle connaît un essor considérable entre 1830 et 1914, période au cours de laquelle se façonnent les fondements et les pratiques d'une administration moderne ainsi que ses principes de service public. La présente étude, qui s'appuie sur une base monographique dédiée à la Normandie, entendue au sens de la grande province d'Ancien Régime, n'omet pas de la confronter sans cesse aux transformations nationales d'une institution qui n'a de cesse d'élargir ses prérogatives. Dépassant sa tâche originelle vouée au transport du courrier et des personnes, la Poste complète l'ensemble de la chaîne d'acheminement postal par la distribution et la collecte du courrier. A la lettre, dont le trafic croît rapidement sous le triple effet de l'essor économique, de l'ouverture des marchés et des progrès de l'alphabétisation, s'ajoutent le colis et l'offre des services financiers. Un nouveau métier, celui de facteur, endosse le rôle de médiateur. Derrière cette figure populaire se dessine le rôle de l'Etat qui, tenant la Poste d'une main de fer, agit par elle comme garant d'une acculturation culturelle, sociale et économique. La création d'un ministère dédié en 1879 témoigne à la fois de ce rôle qu'a pris la Poste, mais aussi des ambitions que les gouvernants placent dans cette institution qui doit servir leurs desseins. Au final, s'offre un observatoire de l'essor postal national, de ses enjeux politiques, économiques et sociétaux, qui, par l'exemple d'un modèle de développement régional, donne à découvrir les éléments de la relation singulière que la France et les Français entretiennent avec la Poste.


Mémoriaux de la chambre des comptes de Normandie XIV°-XVII° siècles Tome 1 "MEMORIAUX DE LA CHAMBRE DES COMPTES DE NORMANDIE XIVe-XVIIe siècles Tome 1" de B. Paris.
MCCN, 2009, 21 x 29,7, 30 €
Dom Jacques-Nicolas LENOIR, religieux bénédictin de la congrégation de Saint-Maur, fit profession à l'abbaye de Saint-Evroul en 1741. Par la suite, il passa à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés et il fut l'un des derniers religieux de cette maison à se livrer à la recherche historique. Son activité érudite se manifesta dès 1760 par un Mémoire relatif au projet d'une histoire générale de la province de Normandie. Pendant plus de vingt-cinq ans, dom Lenoir dépouilla à Paris les archives de la Chambre des comptes de Rouen et il en copia plus de 100 000 titres. La plus grande partie de ses recherches fut achevée dès 1788 : à cette date, il publia un ouvrage, chez Didot l'aîné, sous le titre : Collection chronologique des actes et titres de Normandie concernant l'histoire des familles nobles et les fiefs des trois généralités de cette province.


Mémoriaux de la chambre des comptes de Normandie XIV°-XVII° siècles Tome 2 "MEMORIAUX DE LA CHAMBRE DES COMPTES DE NORMANDIE XIVe-XVIIe siècles Tome 2" de B. Paris.
MCC2, 2010, 21 x 29,7, 40 €
Dom Jacques-Nicolas LENOIR, religieux bénédictin de la congrégation de Saint-Maur, fit profession à l'abbaye de Saint-Evroul en 1741. Par la suite, il passa à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés et il fut l'un des derniers religieux de cette maison à se livrer à la recherche historique. Son activité érudite se manifesta dès 1760 par un Mémoire relatif au projet d'une histoire générale de la province de Normandie. Pendant plus de vingt-cinq ans, dom Lenoir dépouilla à Paris les archives de la Chambre des comptes de Rouen et il en copia plus de 100 000 titres. La plus grande partie de ses recherches fut achevée dès 1788 : à cette date, il publia un ouvrage, chez Didot l'aîné, sous le titre : Collection chronologique des actes et titres de Normandie concernant l'histoire des familles nobles et les fiefs des trois généralités de cette province.


Mémoriaux de la chambre des comptes de Normandie XIV°-XVII° siècles Tome 3 "MEMORIAUX DE LA CHAMBRE DES COMPTES DE NORMANDIE XIVe-XVIIe siècles Tome 3" de B. Paris.
MCC3, 2010, 21 x 29,7, 30 € (sortie 15 juin)
Dom Jacques-Nicolas LENOIR, religieux bénédictin de la congrégation de Saint-Maur, fit profession à l'abbaye de Saint-Evroul en 1741. Par la suite, il passa à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés et il fut l'un des derniers religieux de cette maison à se livrer à la recherche historique. Son activité érudite se manifesta dès 1760 par un Mémoire relatif au projet d'une histoire générale de la province de Normandie. Pendant plus de vingt-cinq ans, dom Lenoir dépouilla à Paris les archives de la Chambre des comptes de Rouen et il en copia plus de 100 000 titres. La plus grande partie de ses recherches fut achevée dès 1788 : à cette date, il publia un ouvrage, chez Didot l'aîné, sous le titre : Collection chronologique des actes et titres de Normandie concernant l'histoire des familles nobles et les fiefs des trois généralités de cette province.


ARMORIAL DES FAMILLES DE HAUTE NORMANDIE "ARMORIAL DES FAMILLES DE HAUTE NORMANDIE" de Jacques Merle du Bourg.
AFHN, 2007, 17 x 24, 138 p., 19,50 €
Dans le présent ARMORIAL DE HAUTE NORMANDIE, la démarche proposée est la suivante. Pour chaque famille étudiée, et chaque fois que possible, sont mentionnés :
- Les origines et les implantations géographiques actuelles.
- La date depuis laquelle la filiation agnatique est généalogiquement suivie et l'existence éventuelle d'une monographie familiale.
- Le cas échéant, le principe de noblesse de la famille avec références.
- Les différentes armoiries portées selon les branches
- La (ou les) devise(s) de la famille concernée.
- On trouvera enfin, pour chaque famille, une bibliographie sommaire.


PETITE HISTOIRE D'ETRETAT "PETITE HISTOIRE D'ETRETAT" de l'abbé Cochet.
PHET, 2010, 154 p., 15 x 21, 14 €
L’histoire d’Etretat ne commence pas au XIXe siècle mais remonte bien à la plus haute antiquité. Un des plus célèbres érudits régionalistes que compta la Normandie au cours du XIXe siècle — lui-même originaire d’Etretat — nous raconte en détail la vie de la cité au cours des siècles passés dans cette monographie passionnante parue (initialement) en 1869. Pour mieux comprendre et apprécier une des villes les plus pittoresques des côtes normandes, et aller un peu au-delà du cliché de la carte postale touristique que le monde entier connaît.


LES DYNASTIES NORMANDES "LES DYNASTIES NORMANDES" de J.P. Chaline.
DYNOR, 2009, 15 x 24, 536 p., 25 €
Pour cette recherche inédite - raconter la saga des dynasties normandes -, Jean-Pierre Chaline a remonté loin le cours de l'histoire, démarrant son récit au temps des Normands, lorsque Rouen était l'une des grandes capitales européennes. Enjambant les siècles dans un récit très agréable, il montre à l'encontre d'une idée largement erronée que cette province a bénéficié elle aussi de flamboyantes dynasties économiques. Celles-ci se répartissent au fil du temps, des opportunités ou des innovations techniques en de multiples foyers industriels ou portuaires : Rouen, bien sûr, longtemps le premier centre cotonnier français ; Le Havre, « Porte Océane », avec ses négociants et armateurs ; mais aussi les cités drapières - Elbeuf, Louviers, Lisieux... - et tant d'autres foyers actifs, depuis Granville (avec les Dior) jusqu'à Gournay, capitale des petits-suisses Gervais, en passant par Fécamp et sa Bénédictine mondialement connue, sans oublier Caen ou Cherbourg... On y découvrira chemin faisant de spectaculaires lignées de marchands, de patrons du textile, de banquiers, d'hommes de presse ou d'assureurs. Parmi eux, des lignages foisonnants : les Badin, Flavigny, Malétra, Bohin, Firmin-Didot, Le Grand, Le Verdier, Clamageran, mais aussi les Latham, Rufenacht, Waddington, Fraenckel-Herzog, la famille d'André Maurois...


BLASONS DU CLOS DU COTENTIN II "BLASONS DU CLOS DU COTENTIN II"
BCC, 2006, 16 x 24, 120 p., photos et ill. couleurs, 20 €
Soucieuse de valoriser le patrimoine héraldique de sa région, l'antenne cherbourgeoise de l'Université interâges de Basse-Normandie propose, avec Blasons du Clos du Cotentin II, une seconde promenade dans le temps, de la fin du Moyen Âge au XXe siècle. Passant d'un château ducal au vestige d'un ancien manoir, ou abordant l'héraldique impériale, ce recueil s'adresse aux généalogistes, aux historiens locaux et à tous les amoureux des pierres armoriées désireux d'en décrypter le message.


NOTES SUR LES COMTES D'ARTOIS, LA MAISON D'HARCOURT, LES FAMILLES DE NOLLENT, DE TOLLEMER ET CORDOEN "NOTES SUR LES COMTES D'ARTOIS, LA MAISON DE HARCOURT, LES FAMILLES DE NOLLENT, DE TOLLEMER ET CORDOEN" de Hugues Rousselle de La Perrière
HARC, 2007, 21 x 29,7, 2 tomes, 750 p. nb illustrations, 140 €
Généalogie très complète et richement illustrée de ces grandes familles normandes et de leurs descendances.


"ARMORIAL DE TOURAILLES, DU HOULME ET DE SES ENVIRONS EN BASSE-NORMANDIE, Ancien fief des Turgot" de Christophe Lallau
ARTO, 2006, 16 x 24, 334 p. 33 €
Le village des Tourailles appartenait dès 1445 à la puissante famille Turgot. Les péripéties de l'histoire ont fait que des familles dont les statuts sociaux au début du Moyen Âge étaient très différents se sont alliées les unes aux autres au fil des siècles. L'Armorial des Tourailles nous conte les aventures genealogiques des familles nobles ou non, citées de 1597 à 1789 aux Tourailles, village constituant le fief ancestral de la famille Turgot dont un membre fut ministre de Louis XVI. Il nous présente aussi les armoiries de toutes ces familles des Tourailles, du Houlme et de ses environs... Cet ouvrage nous donne ainsi les armoiries de plus de 800 familles liées à des degrés divers au territoire du Houlme. Les notices de ces familles sont complétées par les terres et seigneuries possédées et les maintenues de noblesse éventuelles, signifiées lors de la dernière grande recherche ordonnée par Louis XIV en 1666. De nombreuses annexes, un petit glossaire heraldique et des reproductions de blasons en couleurs complètent cet ouvrage à la fois historique, genealogique et heraldique qui nous entraîne dans l'univers de la région du Houlme.
table des noms cités


HENRY BARBET (1789-1875) MAIRE DE ROUEN, issu d'une famille protestante du canton de Bolbec "HENRY BARBET (1789-1875) MAIRE DE ROUEN, issu d'une famille protestante du canton de Bolbec", de Guillaume Guéroult
HBAR, 2006, 14 x 22,5, 64 p., 15 €
Citée dans le pays de Caux dès le XIIIe siècle, la famille Barbet vit entre les cantons de Bolbec, Lillebonne, Saint-Romain de Colbosc et Caudebec-en-Caux au cours des siècles, où la plupart d'entre eux sont cultivateurs. Jacques Barbet quitte la ferme familiale d'Obermare en 1776 et crée une manufacture d'indienne à Déville, près de Rouen, que Napoléon viendra visiter. Il s'enrichit rapidement et ouvre une fabrique à Bapeaume-lès-Rouen. À sa mort, ses trois fils s'associent et exploitent son usine. En 1821 l'aîné d'entre eux, Jacques-Juste, achète la fabrique de toile de Jouy à Jouy-en-Josas au baron Oberkampf et s'appelle désormais Barbet de Jouy. Il est l'ancêtre de l'écrivain Jean d'Ormesson, de l'Académie française. Le second, Henry Barbet, né pendant la Révolution, maire de Rouen en 1830 pendant 17 ans, est 40 ans conseiller général de la Seine-Inférieure, dont 20 ans de présidence, 42 ans membre de la chambre de Commerce, 19 ans député et 4 ans pair de France. Il est l'ancêtre du photographe Henri Cartier-Bresson.


LES ANOBLIS PAR CHARGES EN HAUTE-NORMANDIE "LES ANOBLIS PAR CHARGES EN HAUTE-NORMANDIE" du comte d'Arundel de Condé
ACHN, 2006, 17 x 24, 416 p., 45 €
Cet ouvrage présente l'inventaire exhaustif des anoblis par charges de 1670 à 1790 en Haute-Normandie. Pour chacune des cours souveraines – Parlement, Chancellerie, Cour des aides, Chambre des comptes, bureau des finances, conseil supérieur – il en rappelle la législation et la jurisprudence, il précise la noblesse des différentes charges, il donne la liste des officiers pourvus de ladite charge, il liste les charges et leurs titulaires par ordre chronologique ; Chaque titulaire fait l'objet d'une notice biographique, avec souvent sa filiation ascendante et descendante. Avec près de 2000 noms cités, cet ouvrage est le complément indispensable au travail sur «Les anoblis par lettre en Haute Normandie».


ROUEN AUX 100 CLOCHERS, Dictionnaire des églises et chapelles de Rouen (avant 1789) "ROUEN AUX 100 CLOCHERS, Dictionnaire des églises et chapelles de Rouen (avant 1789)" de Francois Lemoine et Jacques Tanguy
ROUE, 2004, 20 x 24, 200 p., 32 €
Le dénombrement de Victor Hugo dans les "Feuilles d'automne" : "Rouen aux cent clochers carillonnant dans l'air" est exact, non pas en 1831, quand ce texte a été écrit, mais à la veille de la Révolution. Fruit de plusieurs années de recherches, ce livre, réalisé par Francois Lemoine et Jacques Tanguy, est le Dictionnaire des églises et chapelles de Rouen d'avant 1789. Il présente chacune des 37 églises paroissiales rouennaises et les 47 établissements religieux sis à Rouen avant 1789 ainsi qu'une vingtaine d'autres clochers ou chapelles Liés à des hôpitaux, des séminaires ou des institutions diverses. Ce dictionnaire, qui rassemble pour la première fois des informations largement dispersées, se veut également un riche corpus iconographique et offre nombre de documents inédits jusqu'à cette parution.


"LES PATRONS DU SECOND EMPIRE - ANJOU NORMANDIE MAINE" sous la direction de D. Barjot
PSEANM, 1991, 16 x 24, 256 p. 37 €
Il n'y eut guère, dans toute l'histoire économique de la France, de période aussi déterminante que le Second Empire. La croissance rapide des années 1850, puis, durant la décennie suivante, la mise en place d'un système bancaire moderne firent du pays une puissance industrielle de premier plan capable de concurrencer même l'Angleterre. Ce succès fut l'oeuvre des entrepreneurs français. Ceux-ci restent pourtant fort mal connus. Avec l'aide du CNRS, une équipe de chercheurs, d'universitaires, d'archivistes, d'enseignants et d'animateurs de sociétés savantes a cherché à savoir qui,ils étaient. Ils ont choisi, avec l'Anjou, le Maine et la Normandie, une terre de contrastes : que de différences de fortunes et de niveaux de formation, de comportements et de stratégies entre les chefs d'entreprise de Rouen et du Havre et ceux de Laval ou de Cholet. En fait, il n'y eut jamais un patronat, mais des patrons que cet ouvrage saisit à la fois dans leur milieu familial, culturel, religieux et dans leurs comportements d'entrepreneurs toujours, de notables souvent.


"STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS" d'Arcisse de Caumont.
(I : Caen, II : Bayeux-Vire, III : Lisieux, IV : Falaise-Pont-L'Evêque)
STCA, 1978, réimpression de l'édition de 1867, 4 volumes in-8° raisin formant 2816 p., relié sous jacquette 2 couleurs, dos or, 160 €
Nombreuses gravures sur bois.


LES COMMANDERIES DANS LE DEPARTEMENT DE L'EURE (Renneville, Chanu, Bourgoult) "LES COMMANDERIES DANS LE DEPARTEMENT DE L'EURE (Renneville, Chanu, Bourgoult)" de l'Abbé C. Guery
COEU, 1896, reprint 1997 de l'édition de 1903, 14 x 20, 150 p., 21,30 €
Histoire des commanderies de Saint Etienne de Renneville, Chanu et Bourgoult, avec en appendice la liste alphabetique des chevaliers de malte dont les familles ont habité ou habitent encore le département de l'Eure.


"LA RECHERCHE DE NOBLESSE DE 1666 POUR LA GENERALITE DE ROUEN, DITE RECHERCHE DE LA GALISSONNIÈRE, ELECTION DE NEUFCHÂTEL" de Pierre L'Estourmy, préface du comte d'Arundel de Condé.
RNNN, Un volume broché, de XVIII + 350 pages, cahiers cousus, couverture couleur, format 15 x 21,5 cm, 39 €
Jusqu'à présent cette incontournable recherche de noblesse était restée quasi confidentielle, n'ayant jamais été imprimée. Peu de généalogistes ont pu y avoir recours. L'ouvrage fondamental pour toutes les recherches concernant les familles de Basse-Normandie était la Recherche de Chamillart, pour la généralité de Caen. La recherche de noblesse entreprise par Jacques BARIN de la GALISSONNIÈRE en 1666, pour la généralité de Rouen en est le pendant. Elle est la constatation officielle de la situation de la noblesse de Haute-Normandie en 1666, de la résidence de ses différents membres, de leurs armoiries, de leurs fiefs, et d'un certain nombre de leurs alliances. Le travail de BARIN de la GALISSONNIÈRE a été, au dire d'un anonyme du début du XVIIIème siècle, "le plus estimé pour estre estendu et, parce qu'il contient les genealogies de chaque famille, on l'a donné pour modèle dans la recherche qui se fait présentement et qui a commencé en 1696".(cité par les Archives de la Seine Maritime Voyage au pays des aïeux. Rouen 1992. p. 28.)
Cette étude genealogique capitale pour la noblesse normande a été établie sur la base de la copie manuscrite réalisée vers 1880 par Stéphano de MERVAL, auteur de l'armorial du Parlement de Normandie.
108 notices représentant 94 patronymes de l'élection de Neufchâtel convoquées lors de cette recherche ou susceptibles de l'être, y sont étudiées. Chaque article comprend :
a) L'énoncé des armoiries et leur représentation graphique de la main de Louis de MERVAL, graveur et héraldiste.
b) La mention des comparants, avec leur qualité, domiciles.
c) La genealogie donnée par l'intendant, ses remarques éventuelles transcrites avec l'orthographe du manuscrit.
d) Des compléments genealogiques dont l'importance est variable de quelques degrés à des genealogies complétées jusqu'au début du XXème siècle.
A ces notices s'ajoutait :
101 notices représentant 61 patronymes de l'élection de Neufchâtel relevés par le comte d'Arundel de Condé dans les rôles d'assignation pour les condamnations sur place et ne figurant pas dans le registre communément nommé "Recherche de La Galissonnière".
Soit un total de 209 notices représentant 155 patronymes.
table des noms cités.


"LA RECHERCHE DE NOBLESSE DE 1666 pour la GENERALITE DE ROUEN, ELECTION DE PONT L'EVÊQUE" de Pierre L'Estourmy
RNNP, 2001, 502 p., 15 x 21,5 cm, 57,17 €
Donne les genealogies de toutes les familles qui ont comparu dans cette partie de la Normandie.
table des noms cités.


"LA RECHERCHE DE NOBLESSE DE 1666 pour la GENERALITE DE ROUEN, ELECTION DE ROUEN" de Pierre L'Estourmy
RNNR, 1999, 670 p., 15 x 21,5 cm, 67,84 €
Donne les genealogies de toutes les familles qui ont comparu dans cette partie de la Normandie.
table des noms cités.


"LA RECHERCHE DE NOBLESSE DE 1666 pour la HAUTE NORMANDIE, ELECTION D'ARQUES" de Pierre L'Estourmy
RNPA, 1996, 450 p., 15 x 21,5 cm, 53,36 €
Donne les genealogies de toutes les familles qui ont comparu dans cette partie de la Normandie.
table des noms cités.


"LA RECHERCHE DE NOBLESSE DE 1666 pour la HAUTE NORMANDIE, ELECTION DE CAUDEBEC" de Pierre L'Estourmy
RNPC, 2005, 478 p., 15 x 21,5 cm, 57 €
Donne les genealogies de toutes les familles qui ont comparu dans cette partie de la Normandie.
table des noms cités.


LA RECHERCHE DE NOBLESSE DE 1666 pour la GENERALITE DE ROUEN, ELECTION
DE PONT DE L'ARCHE "LA RECHERCHE DE NOBLESSE DE 1666 pour la GENERALITE DE ROUEN, ELECTION DE PONT DE L'ARCHE" de Pierre L'Estourmy
RNPA, 2006, 202 p., 15 x 21,5 cm, 35 €




RECHERCHE DE LA GALISSONNIERE, ELECTION D'ANDELY "RECHERCHE DE LA GALISSONNIERE, ELECTION D'ANDELY" de Pierre L'Estourmy
ANDE, 2008, 14 x 21, 260 p., 45 €
Donne les genealogies de toutes les familles qui ont comparu dans cette partie de la Normandie et ont été maintenues dans leur noblesse.




MEMOIRE POUR SERVIR A L'HISTOIRE DE LA VILLE DE DIEPPE "MEMOIRE POUR SERVIR A L'HISTOIRE DE LA VILLE DE DIEPPE" de Michel Claude Guibert
DIEP, 1977, 412 + 460 p., 2 tomes en 1 volume relié, 15 x 22 cm, 45 €




LE TERRIER DE LA FAMILLE D'ORBEC "LE TERRIER DE LA FAMILLE D'ORBEC à Cideville (Haute-Normandie) XIVe - XVIe siècle" présentation Denise Angers
ORBE, 1993, 300 p., 16 x 24 cm, 34 €
Ce terrier de 1429-1430 nous fait pénétrer dans l'univers d'un de ces petits seigneurs laics de la région de Rouen, Georges d'Orbec. Il lève également le voile sur les relations économiques des paysans entre eux dans le cadre même de la seigneurie. Rédigé en moyen francais, il intéressera les spécialistes de la langue aussi bien que les historiens du monde rural.


LA VIE QUOTIDIENNE DANS LE VEXIN AU XVIIIe "LA VIE QUOTIDIENNE DANS LE VEXIN AU XVIIIe dans l'intimité d'une société rurale" de Francoise Waro-Desjardins
VQV, 1996, 542 p., 16 x 24 cm, 33 €
A partir des inventaires après décès, l'auteur dresse un tableau de ce qu'était la vie dans la campagne vexinoise, tiraillée entre Paris et la Normandie, pendant le demi-siècle qui précède la révolution. Une approche inédite, passionnante et passionnée, du passé d'une région en pleine mutation.


ARMORIAL DES DEUX VEXINS "ARMORIAL DES DEUX VEXINS", de l'AHGDDV
AR2V, 2005, 21 x 29,7, 210 p. photocopiées dont cartes et plans, 55 pages en couleur, 35 €
L'armorial donne la description des armoiries, additionné de commentaires éventuels sur les personnages et leurs alliances. Dessins en couleur des armoiries décrites (environ 1700).
L'armorial des deux vexins est devenu un support indispensable pour tout ceux qui s'intéressent aux grandes familles des deux vexins (français et normand) et à l'histoire locale en général.


"L'ARGENT DANS LES CAMPAGNES NORMANDES A L'EPOQUE MODERNE, le Pays d'Auge (1550-1726)" de Jérôme Jambu.
ARCN, 2000, 13 x 22 cm, 205 p., 18,50 €
On a souvent considéré qu'à l'époque moderne, la monnaie était réservée à la ville, à la noblesse et au grand négoce. Cette recherche méticuleuse fondée sur des sources notariales met largement en cause cette idée reçue. À travers règlements et paiements, ventes et amortissements de rentes, traités de mariages et inventaires après décès, surgissent ducats italiens, flamands ou portugais, pistoles ou réales d'Espagne, esterlins britanniques et surtout écus et testons français. Des journaliers manipulent de l'or. Des paysans utilisent des billets de la Banque Royale. Aucune barrière sociale ne s'oppose en fait à la circulation de l'argent en pays d'Auge. Est-ce que parce qu'il est si courant que l'on n'en parle pas ? Ou est-ce par respect, superstition ou crainte d'autrui ? Ce qui est certain, c'est que l'argent est ici «monnaie courante» et que, de l'aumône au pot de vin, de la dot à l'impôt, les hommes et les femmes entretiennent ave lui un rapport intime. Enfoui dans un sac de toile ou remisé dans un tiroir, dans une «bourse brodée d'or» ou dans les poches des petites gens, il est bien devenu un instrument économique d'échange de base à une époque ou on ne l'attendait guère.


"STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS" d'Arcisse de Caumont.
(I : Caen, II : Bayeux-Vire, III : Lisieux, IV : Falaise-Pont-L'Evêque)
STCA, 1978, réimpression de l'édition de 1867, 4 volumes in-8° raisin formant 2816 p., relié sous jacquette 2 couleurs, dos or, 160 €
Nombreuses gravures sur bois.


"JOURNAL DE PIERRE-LOUIS DE FONTENAY, la vie d'un gentilhomme dans le Perche, 1800-1802" de Jean Arpentinier et Eric Yvard.
JOPF, 1997, 15 x 24 cm, 190p., 25 €
Les notes prises au quotidien par Pierre Louis de Fontenay, propriétaire du domaine du Vauhernu, à Igé, sont du plus grand intérêt pour connaître le mode de vie, l'état des mentalités, les séquelles de la révolution dans le Perche, au temps où Bonaparte confortait son pouvoir à Paris (1800). Sans renier ses origines nobles, M. de Fontenay qui a échappé de justesse aux excès de la Terreur, s'est replié sur son espace domestique, bien décidé à trouver le bonheur au milieu des siens et d'un voisinage choisi parmi les survivants de la société d'Ancien Régime. M. de Fontenay fait preuve de beaucoup de méfiance à l'égard des nouvelles institutions, mais il se veut un honnête citoyen, siégeant au conseil municipal, rédigeant des lettres délicates à destination de l'administration sur laquelle il porte un jugement soupçonneux mais finalement objectif.


GENEALOGIE DE LA FAMILLE PARENT de LANNOY, DESCENDANCE DE JACQUES PARENT, sgr de LANNOY et de CATHERINE GALLYE, XVIe – XXIe, HAUTE-NORMANDIE "GENEALOGIE DE LA FAMILLE PARENT de LANNOY, DESCENDANCE DE JACQUES PARENT, sgr de LANNOY et de CATHERINE GALLYE, XVIe – XXIe, HAUTE-NORMANDIE " de Henri-Louis de la Bretèche
PALA, 2007, 16 x 24, 300 p., broché, nombreuses illustrations (portraits, faire-part, blasons...), 49 €
Originaire d'Auvergne, la famille Parent remonte à Abraham Parent, né à Clermont-Ferrand en 1335, qualifié de «noble homme, écuyer, d'une très ancienne et très noble extraction». Installée au XVIe siècle à Paris, on y rencontre Guillaume Parent, alors marchand orfèvre. Ses enfants furent à leur tour joailliers mais devinrent par la suite marchands merciers. Au XVIe siècle, la famille Parent poursuit son ascension sociale : Dreux Parent est élu en 1549 «Lieutenant des Enfants de Paris, désigné pour escorter le Roi Henri II lors de son entrée dans Paris.» Il semble que c'est ce personnage important qui donna à la famille Parent une bonne notoriété et un statut. Dreux Parent eut trois fils, dont l'aîné Raoul fut reconnu comme un des meilleurs avocats au Parlement et brigua l'échevinage de Paris. Le second Nicolas fut élu Consul des Marchands et Conseiller Secrétaire du Roi en 1574. Après avoir été Conseiller de la Ville de Paris (1583), il termina sa carrière comme notaire et Trésorier général des gabelles (1587). C'est alors que la famille Parent se divisa en deux branches principales : celle des Parent de Lannoy, venue se fixer en Haute-Normandie au début du XVIIe siècle, et celle des Parent du Châtelet, restée à Paris. Les Parent de Lannoy, maintenus dans leur noblesse en 1697, se sont alliés avec les plus grandes familles de la région dieppoise et comptent aujourd'hui plus de 2500 descendants. Cette étude généalogique prend donc pour point de départ l'implantation de la famille Parent en Haute-Normandie, où Jacques Parent, né en 1576, acheta la terre de Lannoy à Sainte-Marguerite-sur-Mer. Elle recense les quelque 2500 descendants actuels du premier seigneur de Lannoy, sur 6 siècles.
Table des familles étudiées et citées


"CHATEAUX DU PAYS D'AUGE ET DU BESSIN" de Philippe Seydoux.
CHAB, 1992, 15 x 22 cm, 112 p., 12 €
Nombreuses illustrations, plus de 120 de demeures avec un renvoi sur une carte de la région. Préface du Duc d'Harcourt.


"CHATEAUX DU PERCHE ET DU BOCAGE NORMAND" de Philippe Seydoux.
CHBN, 1992, 15 x 22 cm, 112 p., 12 €
Nombreuses illustrations, plus d'une centaine de demeures avec un renvoi sur une carte de la région.


"GENTILHOMMIÈRES DES PAYS DE L'EURE" de Franck Beaumont et Philippe Seydoux.
GEEU, 1999, 22 x 29 cm, 465 p., 72 €
Plus de 300 chateaux et maisons anciennes, nombreuses illustrations.


"GENTILSHOMMES ET GENTILHOMMIÈRES EN PAYS DE CAUX" de Pierre Jamme et Jean-Francois Dupont-Danican.
GEPC, 1996, 22 x 29 cm, 350 p., 68 €
Traite de près de 300 chateaux, fermes anciennes, manoirs et autres logis, nombreuses illustrations et photos.


"LES DUCS DE NORMANDIE ET LES ROIS DE FRANCE, 911-1204" de Alain de Sancy.
DUNO, 1996, 13 x 21 cm, 188 p., 18,30 €
Ce récit couvre près de trois cents années (911-1204). Pendant la période qui nous concerne est née, puis s'est développée la Normandie, grâce à la sage politique de ses ducs. Parallèlement les rois Carolingiens et Capétiens bâtissaient les bases de leur royaume, la France. Ce récit va donc tenter de nous faire revivre les événements qui se sont déroulés et les relations qui se sont établies entre les rois de France et les ducs de Normandie, parfois aimables, parfois sanglantes. Derrière la scène principale, il ne faut pas oublier ce qui parfois se tramait dans les coulisses. La femme du temps jadis ne peut être oubliée. Ce sont elles qui ont permis l'institution du principe héréditaire de père en fils, si cher aux ducs de Normandie et au roi Hugues Capet.



" CHATEAU DE CARROUGES, chartrier et papiers de la famille Le Veneur ".
CHCA, 1995, 120 p., 16 x 24 cm, 21 €
Carrouges, un chateau au cœur de la Normandie, un domaine rural, des anciennes forges, une famille qui a marqué l'histoire de France avec un cardinal sous Francois Ier, un ambassadeur sous Louis XIII, un général révolutionnaire. Cinq siècles d'histoire sont retracés à travers les 202 registres et cartons d'archives qui constituent le chartrier de la famille Le Veneur.

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