A SAISIR : jusqu'à 50% de
remise sur la majorité des livres des éditions MEMOIRE et DOCUMENTS
"LA SAGA DES SARKOZY" de H. de
Langle
SAGA, 2010, 15 x 21, 110 p., ill. N&B, 20 €
Que n'a t'on glosé sur l'origine du Président de la République Monsieur
Nicolas Sárközy? Parmi les présidents de la Ve république, à part le
général de Gaulle, il est celui qui a donné lieu au plus de
publications. Cette dernière ne tend pas a ajouter un titre à cette
bibliographie, mais à présenter le contexte historique, les
institutions dont il est issu, les origines nobiliaire et hongroise du
président sur plusieurs siècles de généalogie, et ainsi éclairer la
personnalité de ce président, issu de la mixité, à l'image de la
tendance qui se dessine en France.
"L'ARMORIAL GENERAL DE 1696, et son application en Franche-Comté" de
Nicolas Vernot.
Réédition 2011 de l'édition 2003, 21 x 29,7, 320 pages, 49 €
L'Armorial général de 1696 est un des documents les plus consultés de
la Bibliothèque Nationale. Paradoxalement, c'est également un des plus
méconnus. En effet, la complexité de son organisation interne et les
jugements lapidaires portés parfois sur cette entreprise ont détourné
nombre de chercheurs de cette source pourtant hors du commun. Avec ses
quelques 120.000 enregistrements, l'Armorial général mérite tout
l'intérêt du généalogiste, de l'historien et de tout curieux de la
société d'Ancien Régime. Cette étude cherche à mettre fin à un certain
nombre de préjugés traditionnellement attachés à l'Armorial général et
s'attache à répondre aux questions les plus souvent formulées par tous
ceux qui ont eu un jour
affaire à cet ouvrage. Pourquoi l'Edit de 1696 a-t-il été mis en place
? Comment, concrètement, ont eu lieu les enregistrements ? Quel degré
de confiance peut-on leur apporter ?
Que sont les armoiries d'office, à qui et comment ont-elles été
attribuées ? D'une manière générale, quelles sont les particularités
des armoiries portées sous le règne de Louis XIV, comment étaient-elles
choisies et quelle était leur signification ? Pour répondre à toutes
ces questions, l'ouvrage s'appuie sur des sources précises telles que
la législation (le texte de l'Edit y est intégralement reproduit).
Surtout l'auteur, Franc-Comtois, a le souci permanent de confronter les
ambitions de l'Etat monarchique à la réalité du terrain : il a donc
choisi de donner son pays d'origine pour cadre à cette étude, ce qui
lui permet d'expliquer de manière concrète et approfondie les modalités
d'application de l'Edit de 1696. L'Armorial général est loin de
s'adresser à la seule noblesse : bourgeois et marchands, villes et
communautés religieuses sont eux aussi concernés par ce nouvel impôt
dont l'application fait apparaître toute la richesse de l'heraldique
sous le règne du Roi Soleil : phénomènes de mode, particularités
locales, stratégies familiales, soif de paraître, voire humour... c'est
un visage parfois inattendu de la société d'Ancien Régime qui se laisse
découvrir… Table des noms cités.
REPRINT 2010
"DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE ET GENEALOGIQUE DES CHEVALIERS DE MALTE DE
LA LANGUE D'AUVERGNE SOUS L’ANCIEN REGIME" de Eric Thiou, préfacé par
le Bailli de Pierredon.
MALA, reprint 2010, 17 x 25, 320 p., 49 €
Cet ouvrage contient 475 notices biographiques et généalogiques sur
autant de chevaliers de malte reçus entre 1665 et 1790 en la langue
d’Auvergne. Chaque notice donne les 16 quartiers de chaque chevalier,
ainsi que les dates des mariages. Ces chevaliers représentaient 240
familles nobles différentes, dont certaines formèrent des "dynasties"
de chevaliers de Malte. La langue d’Auvergne couvrait un bon tiers du
royaume de France allant d'Angoulême à Chambéry et de Besançon à
Montélimar. Elle comprenait les provinces d’AUVERGNE, FRANCHE-COMTE,
DAUPHINE, BRESSE, SAVOIE, LYONNAIS, BEAUJOLAIS, FOREZ, VIVARAIS,
NIVERNAIS, LIMOUSIN, BOURBONNAIS, BERRY, ANGOUMOIS, MARCHE, MACONNAIS,
Index des patronymes et des lieux cités.
"GRAND
ARMORIAL DE FRANCE" de Henri JOUGLA de MORENAS et R. de WARREN
GAFP, ed. classique 2011 (édition luxe épuisée), 7 volumes 21 x 29,7,
couverture souple, dos carré collé, 450 €
Catalogue général des armoiries des familles nobles de France,
comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le
royaume et celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la
noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant
les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse
entre 1660 et 1830, d'après l'édition de 1952 en 6 volumes + 1 volume
supplément.
NOUVELLE EDITION 2010
"DICTIONNAIRE DES OFFICIERS DE L'ARMÉE ROYALE QUI ONT COMBATTU AUX
ÉTATS-UNIS PENDANT LA GUERRE D'INDÉPENDANCE 1776-1783" de Gilbert
Bodinier.
DOAR, nouvelle édition
réédition 2010, 16 x 24, 650 p., 45 €
L’auteur, après avoir suivi la carrière de chacun de ces officiers et
celles de tous les officiers qui étaient dans l’armée en 1789,
concluait que les, Américains, à quelques exceptions près, ne s’étaient
pas comportés autrement que leurs camarades, qu’ils avaient servi la
Révolution en petit nombre et en grand nombre dans les corps émigrés.
Ce dictionnaire décrit les origines familiales de ces officiers et suit
leur carrière de l’Ancien Régime à la Restauration. Cette nouvelle
édition a été enrichie depuis les publications antérieures de cet
ouvrage.
"LA FEODALITE EN FRANCHE-COMTE
SOUS L’ANCIEN REGIME (Etude sur le Régime Seigneurial &
Répertoire des Seigneurs Comtois) (1678-1789)" de E. THIOU
FFAR, 2010, 21 x 27, 556 p., 59 €
Le but essentiel de cet ouvrage est
d'être un tableau typologique de la féodalité en Franche-Comté entre
1678 et 1789, en commençant par le régime seigneurial, dont on ne
trouve aucune définition en tant que tel aussi bien dans les ouvrages
du XVIIIe siècle que dans les livres spécialisés de notre siècle,
pourrait être défini comme étant constitué par les privilèges attachés
au domaine ou réserve seigneurial(e) (château, terrains, etc) et par
l'ensemble des prérogatives et des droits s'exerçant sur les sujets et
les biens relevant de la directe seigneuriale, le tout attaché à la
dignité de seigneur justicier d'un lieu. Puis afin de compléter cette
étude sur la féodalité, nous y ajoutons un répertoire des seigneurs de
Franche-Comté, classé par ordre alphabétique des communes de l’ancien
comté de Bourgogne, qui permettra au lecteur de situer une commune au
niveau seigneurial, appartenance ou non à une terre titrée, à une grand
seigneurie, ainsi qu’au niveau de ses seigneurs qui seront classés par
ordre chronologique à l’intérieur de chaque notice communale. Nous
espérons que cet ouvrage fera mieux comprendre au lecteur ce qu’était
la féodalité au dernier siècle de son existence en Franche-Comté.
Table
des noms cités
"GRAND ARMORIAL DE FRANCE" de Henri JOUGLA de MORENAS.
GAF, 1 CD-ROM, Version MAC PC Windows 95/98/2000/XP, 110 €
Catalogue général des armoiries des familles nobles de France,
comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le
royaume et celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la
noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant
les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse
entre 1660 et 1830, d'après l'édition de 1934-1952 en 6 volumes + 1
volume supplément; le tout en 7 volumes, permettant une recherche par
le patronyme, la seigneurie la terre ou plein texte.
"ARMORIAL DE LA PROVINCE DU PERCHE 1696-1701 " de d'Hozier
APRP, 2010, d’après la publication de MM. le Vte de SOUANCÉ et H.
TOURNOÜER 1897-1903, 21 x 29,7, dactylographié, 120 p., 20 € Table
des noms cités
"LES GARDES DU CORPS DE LOUIS XVI, ETUDE INSTITUTIONNELLE, SOCIALE ET
POLITIQUE, DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE", par Gilbert Bodinier,
Lieutenant-colonel (E.R.), Préface de Jean Chagniot, Directeur d'études
à l'EPHE, 2005, 16 x 24, 650 p., 55 €
Des gardes du corps de la monarchie, on a gardé le souvenir de leurs
charges héroïques durant les guerres de Louis XIV et celui de la
défense de la famille royale lors des journées des 5 et 6 octobre 1789.
Comme ils avaient été peu employés pendant les guerres de Louis XV,
leur réputation se dégrada sous le règne suivant, l'opinion publique
les considérant désormais comme un corps inutile et coûteux. Leur
recrutement était largement roturier, car ce n'est qu'en 1775 que l'on
exigea d'eux un certificat de noblesse – du moins pour les simples
gardes, car les officiers appartenaient à la haute noblesse. N'ayant pu
défendre le roi au début de la Révolution, mais profondément attachés à
la monarchie, les gardes du corps émigrèrent en grand nombre et
servirent dans les corps émigrés. Cet ouvrage est le premier à utiliser
les archives de ce corps et celles de la Maison militaire du roi
détenues par le Service historique de l'armée de Terre. L'étude est
complétée par un dictionnaire biographique comportant plus de 1 700
notices. Table des familles citées
"LES LORRAINS ET L'EMPIRE" de Alain Petiot
LORE, 2005, 17 x 25, 490 p., 49 €
Dictionnaire biographique de plus de 1500 personnages.
Pays d'entre-deux, la Lorraine a longtemps constitué un enjeu, sinon
une proie, pour la France comme pour l'Empire des Habsbourg. Il n'est
donc pas étonnant, qu'à l'instar de leurs princes, des Lorrains aient
été attirés au cours des siècles soit par le Roi, soit par l'Empereur.
Mais si l'apport de la Lorraine dans la formation de la France moderne
est bien compris dans notre histoire nationale, la part qu'elle a prise
dans les destinées de l'empire central reste mal connue.
Saint Empire romain germanique, empire d'Autriche puis double monarchie
austro-hongroise, l'Empire désigne, depuis l'abdication de Charles
Quint, les possessions héréditaires des Habsbourg de la maison
d'Autriche, devenus Habsbourg-Lorraine par le mariage du dernier duc
héréditaire de Lorraine et de Bar avec l'archiduchesse Marie-Thérèse.
Objet d'un engagement politique délibéré, asile de légitimité puis
réceptacle de fidélité, cet empire a porté, jusqu'à sa chute, l'obscure
mémoire d'une nation lorraine disparue.
Sur ces terres d'empire, de la Flandre à la Sicile, du Brisgau à la
Transylvanie, de la Bucovine à la Bosnie, des Lorrains servirent,
passèrent, vécurent ou moururent. Les plus éminents appartiennent à
l'Histoire. D'autres, plus modestes, sont tombés dans l'oubli. Mais,
pendant près de quatre siècles, ces Lorrains marquèrent de leur
empreinte une histoire qui est déjà celle de l'Europe.
Tous ces personnages, qui défilent ici comme des ombres, font revivre
cette épopée et nous révèlent la face cachée, mais non la moins
glorieuse, de l'histoire de la Lorraine.
Table des familles citées
"ORDRES ET DECORATIONS DE L'EMPIRE CHERIFIEN
AU TEMPS DU PROTECTORAT FRANÇAIS AU MAROC
1912 - 1956" de Pierre Rousseau Couronné par l'Institut
Prix 2006 du bailli comte Josserand de Saint-Priest
2005, Un volume 22 x 30 relié pleine toile verte.
Premier plat décoré et titré à l'or fin.
Jaquette illustrée couleur.
Plus de 300 illustrations couleur
pour la plupart inédites.
286 pages,65 €
S'il existe plusieurs traités de numismatique chérifienne (marocaine),
aucune étude de phaléristique chérifienne n'avait jamais été réalisée
jusqu'à présent.
Se référant systématiquement aux textes officiels et replaçant chacune
des décorations étudiées dans son contexte historique fondateur,
l'auteur nous invite à une lecture particulière de l'histoire commune
du Maroc et de la France durant toute la première moitié du 20ème
siècle. Cette histoire raconte l'œuvre généreuse de millions de
Marocains et de centaines de milliers de Français qui, par amour du
Maroc, se sont dévoués à la construction des fondations du Maroc
moderne. C'est pour eux qu'ont été créées ces décorations, ces parures
d'honneur et de gloire, venues récompenser leur dévouement, souvent
leur sacrifice, dans de belles activités humaines au service de
l'histoire franco-marocaine.
Si l'essentiel de l'ouvrage est consacré aux ordres et décorations
spécifiques de l'Empire Chérifien sur la période 1912-1956 (Ordres du
Ouissam Hafidien, du Ouissam Alaouite Chérifien, du Mérite Militaire
Chérifien, et les différentes medailles d'honneur chérifiennes),
l'ouvrage traite aussi des décorations créées ou attribuées lors des
diverses " campagnes du Maroc " qui ont servi à sa conquête d'abord, à
sa pacification ensuite, au maintien de l'ordre enfin à l'occasion de
son accession à l'indépendance.
"DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE ET GENEALOGIQUE DES CHEVALIERS DE
SAINT-HUBERT DE LORRAINE ET DU BARROIS (1416-1852)" de P. de VILLEPIN
OSH2, 2010, 16 x 24, 450 p., 29 €
L’Ordre noble de Saint-Hubert de Lorraine
et du Barrois est le plus ancien des Ordres de Saint-Hubert et le seul
Ordre de chevalerie authentiquement lorrain.
Fondée en 1416 par le cardinal de Bar et 47 gentilshommes pour assurer
la succession menacée de leur duché, la Compagnie du Lévrier blanc se
place dès 1422 sous l’invocation de saint Hubert, apôtre des Ardennes,
patron des chasseurs et thaumaturge de la rage. Entre chevalerie et
vénerie, cette institution d’origine étrangère est reconnue par Louis
XV après la réunion de la Lorraine à la France avant d’émigrer sous la
Révolution. Restaurée en 1816, elle est finalement interdite en 1824
par Louis XVIII, ce qui ne l’empêche pas de renaître bientôt en
Belgique et de connaître divers avatars.
Sur plus de quatre siècles, les quelque 500 chevaliers de Saint-Hubert
appartiennent à près de 300 familles qui forment une caste -tantôt
ouverte, tantôt fermée- issue aussi bien de la noblesse d’extraction
que de la robe ou de l’aristocratie marchande. Aujourd’hui, 15 à 20% de
ces familles sont subsistantes. En ligne féminine, bien d’autres noms
se rattachent à ce cénacle de notables locaux qu’Auguste Didot fait
figurer, non sans emphase, parmi les Ordres les plus anciens de la
chrétienté.
De saint Hubert au bienheureux Charles de Foucauld (1858-1916) -issu
lui-même de trois dignitaires-, la magie filiative de ces chevaliers
chasseurs se transforme en quête de renouveau spirituel. Ce
Dictionnaire biographique et généalogique des chevaliers de
Saint-Hubert fait suite, dix ans après, à l’histoire de L’ordre de
Saint-Hubert de Lorraine et du Barrois (1416-1852), prix d’Histoire
2000 de l’Académie nationale de Metz. Table des noms cités
"LES QUELEN DE LAVAUGUYON" de Jacques Dubois de Lavauguyon
QUEL, 2009, 16 x 24, 150 p., 25 €
Cette histoire d'une famille française sur un millénaire nous permet de
mieux connaître l'évolution et le rôle d'un groupe social spécifique
que les historiens d'aujourd’hui appellent la noblesse seconde. En
effet, la noblesse n'est pas homogène, selon son origine, l'importance
des charges quelle occupe, ses alliances, sa proximité avec la famille
royale et, on pourrait ajouter, sa richesse, une famille noble ne
correspond pas à un modèle unique et elle-même connaît une évolution au
cours du temps.
C'est ce qu'on observe en ce qui concerne les Quélen de Lavauguyon que
l'on voit, petits seigneurs de Bretagne ou de Guyenne parvenir, au fil
des siècles, des alliances et des services éminents rendus à la
Monarchie, au rang de duc et Pair de France.
En remontant le temps on découvre que, par le jeu de prestigieuses
alliances, les Quélen de Lavauguyon peuvent compter dans leur
généalogie ainsi que l'attestent les lettres patentes de 1758 portant
érection du duché-pairie de Lavauguyon ) rien moins que Chartes Martel,
les premiers ducs de Bretagne, un empereur de Constantinople
(Constantin Vll), Guillaume Le Conquérant, Baudouin VII de Jérusalem
et, encore, des croisés, un Pape de La Renaissance ( Alexandre VI) et
son fils César Borgia, un « Mignon » d'Henri III, des maréchaux de
France, des ambassadeurs, un général d'Empire, un archevêque de Paris,
des héros et des saints, etc....
"LA SUPERBE COMTESSE DE BRIONNE" de Benoit Florin
BRIO, 2009, 15 x 22, 350 p., cahier ill. couleurs, 25 €
Même si elle est aujourd'hui bien oubliée, Louise de Rohan, comtesse de
Brionne et princesse de Lorraine, a fasciné ses contemporains autant
que la princesse Grace de Monaco ou « lady Diana » à notre époque.
Cette grande aristocrate à la beauté légendaire a également côtoyé des
personnalités très variées, et nous permet de les considérer sous des
aspects moins connus, qu'il s'agisse des philosophes Voltaire et
Rousseau, ou des souverains Gustave III, Joseph II et Marie-Antoinette
(dont elle fut un temps la favorite). Elle a aussi inspiré de tendres
sentiments à Choiseul et Talleyrand, deux grands ministres des Affaires
étrangères, comme sans doute à quelques autres. Elle sut néanmoins
rester fort « sage » - selon le mot de Casanova - en un siècle où on ne
l'était guère dans son milieu, tout en menant une existence très
moderne pour son temps. Seule femme à avoir assumé l'importante
fonction de grand écuyer de France, elle avait parallèlement la passion
des voyages et des rencontres. Ce personnage attachant incarne donc
pleinement le dix-huitième siècle finissant et « le plaisir de vivre »
de sa haute société. Affrontant ensuite avec courage et dignité les
années noires de l'émigration, Louise de Brionne mérite assurément le
titre de « dernière grande dame de France et d'Europe » que lui décerne
son cousin le prince de Ligne, dont elle peut être considérée comme le
pendant féminin.
Table
des noms cités
"LIRE LES ECRITURES ANCIENNES,
DU XVe AU XVIIIe SIECLE" de Roland de Tarragon
TARA, 2009, 21 x 29,7 cm, 572 p., 59 €
Extraordinaire recueil de plus de 7500 images (exemples et formes de
lettres, mots, abréviations, enchaînement de mots...) qui permettra de
s'initier a la lecture des écritures anciennes du XVe au XVIIIe
siècles. Un outil indispensable pour le paléographe et le généalogiste. Voir un exemple
de page
"L'ART HERALDIQUE, lire, décrire, composer des armoiries" de Gérard
Audoin.
Nouvelle édition revue et augmentée
AH2, 2009, 17 x 24, 462 p., 59 €
Les armoiries sont des signes graphiques, généralement inscrits dans un
écu aux contours variés, ayant la particularité d'être fixes et
héréditaires. L'écriture des noms par l'image. Dans cette nouvelle
version de «l'art héraldique» largement augmentée, vous découvrirez un
complément de meubles, de cimiers, de quelques figures au dessin
caractéristique du XVe siècle, des combinaisons particulières,
d'exemples d'armoiries de corporations, de villes, de familles, de
badges, de symboles para héraldiques, de constructions géométriques...
également une attention sur les confusions dans le graphisme et son
interprétation. Un index développé vous permettra le renvoi aux
illustrations.
A partir du moment où l'héraldique est comprise comme une langue qui
possède sa syntaxe - les fameuses règles du blason - et son vocabulaire
propre - les termes spécifiques qui font par exemple que le vert se dit
"sinople", tout le monde peut la pratiquer à sa manière, et comme toute
langue, chacun la prononcera avec son accent. Les modèles graphiques
pourront donc être déclinés à l'infini selon les aptitudes artistiques
de chacun, et le Manuel d'art héraldique de Gérard
Audoin doit alors se lire comme une grammaire du blason : à partir de
quelques règles bien maîtrisées et simples et de milliers de modèles,
chacun peut donner libre cours à son inspiration et à son
interprétation. Par exemple, à partir du dessin du loup proposé par
Gérard Audoin, tout le monde peut proposer des variations. Après la
lecture de ce magnifique manuel et si le cœur vous en dit, prenez donc
vos crayons, et maintenant, blasonnez !
Glossaire des termes définis et illustrés
dans "l'ART HERALDIQUE"
"CD ARMORIAL GENERAL" de J.B. Rietstap
Précédé d'un Dictionnaire des Termes de Blason. ed. 1887, 2 vols. 1200
+ 1328 p. Cet irremplaçable ouvrage de référence contient la
description de milliers d'armoiries du monde entier, classée par ordre
alphabétique des noms de famille. Suivi de : « ILLUSTRATIONS DE
L'ARMORIAL GÉNÉRAL » de Rietstap, de V. & H.V.Rolland, 6 vol.,
2029 p. d'illustration montrant approximativement. 85.000 dessins
d'armoiries classées par ordre alphabétique des noms de famille
& représenté en noir et blanc, hachures, etc….sous forme de CD
ROM, PC/MAC,
149 €